Le conseil de la Faculté de chimie du 18 mai dernier vient d'élire Jean-Marc Planeix pour succéder à M. Gérard Poillerat à partir de la fin Aout et pour la période septembre 2009/aout 2014.
Découvrir sa profession de foi et son cv en ligne.
En raison des examens en cours, le débat annoncé au sein de l'Université autour de la LRU a été reporté au mercredi 3 juin de 14h30 à 18h au Carré de Malberg, premier étage de la Faculté de droit, 1 place d'Athènes à Strasbourg.
Ce rendez-vous est important. Il doit permettre un débat ouvert, sans tabou, dans le respect mutuel et le souci du progrès de la démocratie interne. Chacun pourra s'y exprimer.
Ce débat se tiendra en présence d'Alain Beretz, président de l'Université de Strasbourg. Il sera co-animé par un enseignant et un étudiant et structuré en 4 axes :
Les 3 premiers feront référence aux grands titres de la loi et seront présentés par Jean Déroche, secrétaire général de l'université (contenu et nouveautés introduites par la loi) ainsi que par deux étudiants qui auront pour mission de mettre en évidence les arguments "pour" ou "contre" liés aux articles de la loi.
La synthèse des débats sera introduite par un étudiant. Le chargé de mission à la vie démocratique dans l'Université de Strasbourg, Philippe Breton, conduire le débat afin de dégager des perspectives d'actions concrètes. Le principe même d'autonomie doit permettre à chaque université d'élaborer des structures qui lui permettent de palier les déficits éventuels de démocratie, de représentation, de circulation de la parole et de régulation des rouages de gouvernance.
Voir l'article du numéro 7 de L'Actu.
Les effectifs 2008/09 : légère tendance à la baisse
Au 15 janvier 2009, date de référence nationale pour le décompte des inscrits à l'université pour l'année universitaire 2008/09, l'Université de Strasbourg compte 41 060 étudiants, contre 41 740 en 2007/08.
La répartition entre les différents secteurs disciplinaires évolue peu entre les rentrées 2007 et 2008 : le secteur des sciences et technologies représente environ 20% des inscrits, le secteur santé, incluant les inscrits dans les facultés de médecine, pharmacie et chirurgie dentaire, rassemble 17% des étudiants, celui des arts lettres, langues et sciences humaines et sociales, 37 %, et l'ensemble droit, économie, gestion et sciences politiques, 26%.
Tableau 1 : Répartition des étudiants entre les différents domaines de formation au 15/01/09
Secteur disciplinaire | 2008/09 | % |
Sciences et Technologie (S&T) | 8 147 | 19,8% |
Santé | 7 038 | 17,1% |
Arts, Lettres, Langues & Sciences humaines et sociales (ALL/SHS) | 15 158 | 36,9% |
Droit, Economie, Gestion, sc. politiques (DEG) | 10 717 | 26,1% |
Total UdS | 41 060 | 100% |
Par rapport à 2007/08, on enregistre une baisse globale de l'ordre de 2% (-680 étudiants). La comparaison composante par composante montre que ce constat est le résultat :
Une offre de formation diversifiée
Près de deux-tiers des effectifs dans les filières universitaires LMD :
36% des étudiants ont choisi des diplômes professionnels de différents niveaux ou préparent des concours de la fonction publique :
Une université attractive : 34 % d'entrants à la rentrée 2008
34% des étudiants inscrits à l'Université de Strasbourg à la rentrée 2008 sont déclarés « entrants », c'est-à-dire qu'ils n'étaient pas inscrits l'année précédente à l'université. L'analyse par niveau de formation montre que :
Le bilan global fait apparaître que les 1res années de licence et de DUT, les deux années de master M1 et M2, et le secteur santé attirent à eux seuls les deux-tiers des entrants à l'Université de Strasbourg, le tiers restant résultant de la contribution des écoles, de l'IUFM, du niveau L3 de licence ou des licences professionnelles, pour des taux respectifs n'excédant pas 4 à 5%, et de divers diplômes spécifiques à l'Université de Strasbourg pour environ 10%.
Un fort rayonnement international
Au 15 janvier 2009, on identifiait 7 464 étudiants de nationalité étrangère soit 18,2% des effectifs de l'Université de Strasbourg venus à titre individuel, hors programme d'échanges inter-établissements.
L'analyse des proportions de ces étudiants par secteur disciplinaire permet d'en mesurer le rayonnement international. Elle confirme l'attractivité du secteur ALL/SHS avec un taux d'étrangers de 20,5%, puis du secteur DEG (19,4%), du secteur sciences et technologie (15,5%) et enfin du secteur santé (14,5%).
La proportion d'étrangers par niveau de formation, toutes disciplines confondues, passe de 16% en licence à 31% en master et 44% en doctorat ce qui, mis en regard du taux d'entrants par niveau (respectivement 36%, 25% et 7,4%) traduit la capacité de l'Université de Strasbourg à attirer les étudiants étrangers mais aussi à les fidéliser d'un niveau à l'autre jusqu'au doctorat. En revanche dans les autres types de filières - DUT, licences professionnelles, écoles d'ingénieurs, préparations aux concours, diplômes d'université - ce taux n'excède pas 10% dans chacune d'entre elles.
Si l'on ajoute à cette population, les quelque 1 000 étudiants accueillis dans le cadre de programmes d'échanges, l'Université de Strasbourg peut se prévaloir d'un taux global d'étudiants de nationalité étrangère représentant 20,6% de ses effectifs en 2008/2009.
Annie Cheminat, vice-présidente déléguée à la qualité et à l'évaluation
Source : Service de l'aide au pilotage
Le 14 mai dernier dans l'amphithéâtre du Collège doctoral européen, s'est tenue la première réunion des correspondants communication de l'université : une réunion à laquelle ont assisté 83 personnes, preuve que la communication a pris toute sa place dans nos préoccupations professionnelles quotidiennes.
Faire circuler l'information, savoir ce qui se passe dans les composantes, dans les services et dans les laboratoires pour assurer une communication efficace et ciblée, est à la fois un enjeu central et une vraie difficulté pratique dans un établissement universitaire qui compte 141 entités… Un effet d'échelle, qui exige que les remontées d'information soient organisées au mieux.
A la fois point de départ et clé de voute de ce système d'information, le réseau interne des correspondants communication commence à se mettre en place à l'initiative du Service communication, qui s'est vu se confier la responsabilité de créer et d'animer ce réseau.
Les correspondants ont été nommés par leur responsable hiérarchique dans le courant du mois d'avril. Aujourd'hui, 70% des 141 structures de l'Université sont représentées dans le réseau, soient 66% des services, 86 % des composantes, 60% des unités de recherche. Au total 106 personnes : 2/3 de femmes, 1/3 d'hommes, ou encore 1/3 d'enseignants-chercheurs, 2/3 de personnels biatos.
83 personnes ont participé à cette première réunion, qui a permis aux membres du réseau de faire connaissance. Ce fut l'occasion de lancer les premières pistes de la collaboration et de présenter aux correspondants la structure, le fonctionnement et les outils du Service de communication (télécharger le PowerPoint de présentation). Celui-ci ayant l'objectif de proposer aux correspondants qui le souhaitent un parcours de formation, un questionnaire a été distribué pour sonder les besoins les plus immédiats en la matière. Une série de questions a également été posée concernant les personnes relais dans le Service communication, l'application de la charte graphique, les relations presse, le web…
Rendez-vous à la rentrée pour de nouvelles et fructueuses rencontres.
Contact : com-conseil@unistra.fr
C.L.
Le service de la vie universitaire fait la synthèse de services chargés de promouvoir et de développer la vie étudiante au sein de l'université. Tour d'horizon avec Diane Dupront, qui a pris la direction de ce service en janvier dernier.
Comment s'est passée la fusion ?
La fusion s'est vraiment bien passée pour nous. Depuis 2006, les BVE de l'URS et de l'ULP avaient déjà l'habitude de travailler ensemble, de monter des actions communes. Chacun a retrouvé facilement sa place dans l'équipe. On s'est regroupé dans nos nouveaux locaux au Patio. La seule chose qu'on regrette un peu, c'est que c'est un peu difficile de nous trouver. Et puis, nos locaux ont été vandalisés pendant la période d'occupation du Patio en avril, et cela a été un petit traumatisme !
Quelles sont vos missions ?
Nos missions sont celles, cumulées, de l'Agora et du Bureau de la vie étudiante.
L'Agora est un service chargé de l'accueil physique des étudiants, sur le mode du guichet unique (CROUS, SNCF, Espace carte culture, etc). Elle fonctionne sur deux niveaux : un niveau temporaire au moment de la rentrée et une agora permanente qui reste en place toute l'année. Sa mission est de soutenir les étudiants dans leurs démarches administratives.
Quant au BVE, ses missions s'organisent autour de 6 axes :
Quels sont vos chantiers prioritaires, vos nouveautés ?
La mise en place d'une mission « handicap » clairement identifiée avec une équipe de permanents soutenus par un politique, et des relais dans les UFR est un chantier prioritaire pour nous. Nous nous sommes également beaucoup investis dans la mise en place de la Commission d'aide aux projets étudiants (CAPE), dont le fonctionnement a été acté par le Conseil d'administration du 12 mai dernier et que nous allons gérer. Nous nous efforçons également de développer l'emploi étudiant au sein même de notre service : ainsi, nous avons recruté une étudiante pour suivre la réalisation de l'agenda de l'Université de Strasbourg. Par ailleurs, avec le service communication, nous réalisons le guide Ulysse. Enfin, toujours sur le registre de la communication, nous espérons lancer une newsletter à la rentrée, en direction des étudiants.
Les données clé du service
L'Agora :
Le BVE :
Caroline Laplane
« Une assemblée consultative sera bientôt en place dans notre université »
Chercheur en sciences de l'information et de la communication au CNRS, Philippe Breton a travaillé à la mise en place, pour la Ville de Strasbourg, de conseils de quartiers construits sur le principe d'un pouvoir consultatif important, qui contrebalance un pouvoir exécutif fort. Une philosophie que la présidence de l'Université de Strasbourg lui a demandé de transférer à l'institution universitaire.
Qu'est-ce qui vous a amené à vous intéresser à ces questions ?
Je travaille depuis de nombreuses années sur les thématiques de l'argumentation, les mécanismes utilisés pour convaincre, etc. De là, j'ai glissé naturellement vers la démocratie, vue sous l'angle du débat. Puis la Ville de Strasbourg m'a mobilisé, en tant que chercheur, par le biais d'une convention, sur la refonte de ses conseils de quartiers. Leur existence est obligatoire, encadrée par la loi, mais la nouvelle équipe municipale souhaitait rendre son fonctionnement plus démocratique, en faire une vraie instance consultative, indépendante du pouvoir exécutif. A la suite de cette expérience, plutôt réussie, le candidat Alain Beretz a souhaité transférer cette philosophie à l'institution universitaire. C'était inscrit à son programme électoral. Quand il est devenu président, il m'a confié cette mission, sous couvert du premier VP, puisque c'est une mission transversale, et voilà !
Le débat, la démocratie dans l'Université, la centralisation du pouvoir dans le cadre de la LRU : on est en plein dans les questions qui perturbent la communauté universitaire ?
C'est vrai. La LRU renforce le pouvoir exécutif, c'est incontestable. Mais je pense que ce pouvoir peut-être contrebalancé par un pouvoir consultatif crédible et fort. Dans de grandes universités anglo-saxonnes, comme Berkeley, par exemple, le pouvoir présidentiel est fort, mais il existe une assemblée des professeurs, qui a un pouvoir strictement consultatif mais une autorité morale telle que si elle émet un avis négatif sur une question, il est rare que le président passe outre cet avis. Son rôle de rééquilibrage des pouvoirs est une réalité. C'est d'ailleurs une tendance générale dans les démocraties : la place faite à ce 4e pouvoir, le pouvoir consultatif, est en expansion dans les collectivités locales, au sein des institutions européennes. Il fait le lien avec les populations et répond à leur aspiration à participer réellement au débat démocratique.
Et comment voyez-vous les choses à l'Université de Strasbourg ?
Nous nous dirigeons également vers la création d'une assemblée, dont la composition et le fonctionnement seront présentés au Conseil d'administration en juin. J'espère qu'elle sera mise en place dès la rentrée prochaine. Elle sera, pour moi, une autorité morale indépendante habilitée à donner un avis sur les grandes décisions de l'Université. Une cellule viendra en appui de cette assemblée. Elle organisera ses travaux, et pourrait jouer un rôle de médiation institutionnelle, dénouer certains conflits avec les composantes. Elle pourrait aussi assumer des missions de sondage (afin d'offrir une meilleure connaissance des opinions de la communauté universitaire) et peut-être proposer des médias « indépendants », qui soient des lieux neutres de débat. Tout ceci reste encore à affiner…
Propos recueillis par Caroline Laplane
Le 7 mai dernier, un jury a sélectionné sur références 4 cabinets d'architecte parmi 77 candidats. Ceux-ci soumettront, à la mi-octobre, un projet de conception du bâtiment qui accueillera le Centre de recherche en biomédecine de Strasbourg (CRBS). Située sur le campus médecine, entre le Centre de bactériologie, le Forum de la Faculté de médecine et l'Hôpital civil, cette construction de 8 000 m2 devrait sortir de terre à partir d'octobre 2011, après la démolition du bâtiment 4 de la Faculté de médecine qui débutera en septembre 2010. Elle hébergera, à partir de 2013, 8 unités Inserm et 5 équipes d'accueil qui travailleront en partenariat avec les hôpitaux universitaires de Strasbourg. Ce projet a été retenu dans le cadre du CPER (Contrat de plan état-région) 2007-2013. Il sera co-financé par l'Université de Strasbourg, l'Inserm, l'Etat et les 3 collectivités territoriales.
Le CRBS, de par son caractère pluridisciplinaire, met en relation à la fois les aspects de la recherche fondamentale, de la recherche clinique et le domaine de la santé publique. Il s'étend actuellement sur les campus CHU-Médecine et se divise en quatre départements qui sont composés de plusieurs équipes : Neurosciences, Cancer développement, Maladies infectieuses et immunologie, Biomatériaux et ingénierie tissulaire. Il comprend également un département transversal : Innovation biomédecine.
M.A.
Le Conseil d'administration s'est déroulé le 12 mai dernier. Voici quelques informations en bref, en attendant la diffusion du traditionnel procès-verbal.
Informations du président
Collégiums
Le processus de constitution des collégiums, même s'il n'est pas totalement abouti, est bien engagé. Alain Beretz a tenu, sur un sujet de cette importance et aussi novateur, à ne pas verrouiller le calendrier et à laisser les derniers pourparlers se dérouler. Dès lors, dans sa séance du 12 mai, le Conseil d'administration s'est contenté d'approuver les contours des collégiums entendus non comme des frontières mais comme des « centres de gravité » qui permettent aux ensembles de coopérer. Les règlements intérieurs rédigés ou en cours de rédaction seront examinés par la commission des statuts, puis par le Conseil d'administration dans une séance ultérieure. Parallèlement les collégiums entreront progressivement dans leur rôle et seront notamment représentés au sein de différentes instances. Dès le 19 mai, le président réunit leurs représentants avec les membres du Bureau pour un échange. Cette initiative préfigure les futurs « Bureaux élargis » inscrits dans les statuts de l'Université.
Partenariat avec les collectivités
En ouvrant le débat sur la question du partenariat avec les collectivités, le président a souligné la nécessité de définir un nouvel espace d'échange stratégique. Il a rappelé le rôle essentiel d'interface que jouait en ce sens le pôle universitaire européen. C'est désormais dans la sphère même de l'Université que ce lien doit s'établir. Les collectivités alsaciennes, représentées par Sophie Rohfritsch pour la Région Alsace, Henri Dreyfus pour la Communauté urbaine de Strasbourg et René Haag pour le Conseil général du Bas-Rhin, ont fait part de la démarche concertée des collectivités pour apporter leur soutien aux initiatives de développement de l'Université auxquelles elles seront associées.
Contrôle des connaissances
Un groupe de travail composé d'étudiants, d'enseignants-chercheurs et de personnels des services administratifs de scolarité a fait des propositions de règles générales communes aux composantes de l'Université en ce qui concerne les modalités de contrôle des connaissances en Licence et en Master. Après examen par la commission permanente, le CEVU a adopté le cadrage général qui a fait l'objet de longs débats et qui servira de support à l'élaboration des règlements d'examens par les composantes pour les formations habilitées en Licence et en Master. Le CA a entériné cette position.
Mise en place de la CAPE
Les membres du CA ont également approuvé à l'unanimité la mise en place de la Commission d'aide aux projets étudiants (CAPE), fruit d'une réflexion menée par les acteurs du subventionnement des projets étudiants des trois anciennes universités strasbourgeoises, ainsi que la charte de subventionnement.
La CAPE poursuit plusieurs buts :
Cinq étudiants ont été élus au sein du collège étudiant du CEVU pour siéger dans la commission de subventionnement.
La charte de subventionnement précise les conditions nécessaires pour faire une demande, le type de projet qui peut être subventionné, la composition du dossier, les modalités de son examen et enfin le contrôle de l'utilisation de la subvention.
Contact : bve@unistra.fr
Prévention des risques professionnels
Le CA a également approuvé à l'unanimité le « Programme annuel de prévention 2009 des risques professionnels et des risques concernant les usagers ».
Ce programme 2009 a été établi, d'après le bilan de l'année 2008 pour l'ULP, l'UMB, l'URS et l'IUFM, les remontées du document unique d'évaluation des risques professionnels, les rapports 2007 des inspections en hygiène et sécurité des trois universités et le programme annuel de prévention 2008-2009 du comité central d'hygiène et de sécurité ministériel compétent pour l'enseignement supérieur et la recherche. Il fixe la liste des opérations, les différents acteurs voire les personnes concernées et l'estimation du montant budgété.
Ouverture d'une préparation au concours de greffiers à l'IPAG
L'ouverture d'une préparation au concours de greffiers des services judiciaires au sein de l'IPAG a également été approuvée ainsi que d'autres importantes mesures administratives dont vous trouverez le détail dans le PV de cette séance du 12 mai.
Départs au Mexique à nouveau autorisés :
Patrick Hetzel, directeur général pour l'enseignement supérieur et l'insertion professionnelle au ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche vient d'envoyer de nouvelles recommandations à l'ensemble des présidents d'université au sujet de la pandémie grippale.
Le ministère des Affaires étrangères vient de d'informer par courrier du changement de situation sanitaire au Mexique.Les voyages ne sont désormais plus déconseillés. Les échanges d'étudiants peuvent reprendre sur une base normale.
Le ministère des Affaires étrangères appelle cependant à la prudence et à l'application des consignes d'hygiène équivalentes à celles recommandées en France.
Il est ainsi conseillé de visiter les sites ci-dessous pour obtenir les dernières informations notamment à l'intention des voyageurs :
Par ailleurs, la déclaration récente de l'épidémie de grippe porcine a donné à constater que l'Université de Strasbourg ne s'était pas encore dotée d'un plan de continuité pour garantir son fonctionnement minimal dans l'hypothèse où une alerte devrait être déclenchée par le ministère de la Santé conduisant à une fermeture de l'établissement.
Ce plan de continuité doit donc être mis en place, en s'appuyant sur le nouvel organigramme de l'Université de Strasbourg. Il doit assurer la continuité du service public s'agissant des missions essentielles de l'établissement, et notamment qu'un lien pédagogique soit maintenu avec les étudiants.
Un recensement des personnels susceptibles d'assurer une permanence sur place ou a domicile doit être effectué pour le 10 juin prochain.
Plus de détails : lettre du président
La présidence de l'Université met en place un séminaire « Prospective et développement », qui se tiendra toutes les six semaines environ. Des intervenants extérieurs viendront y présenter des travaux à caractère stratégique et prospectif, des pratiques développées dans d'autres organismes, et des intervenants de notre université présenteront également les développements en cours.
Ce séminaire est ouvert à tous, mais pour favoriser les échanges avec la salle, le nombre de participants est limité à 150. Pour y participer, inscrivez vous par courriel auprès de Catherine Schroder (catherine.schroder@unistra.fr). Une retransmission sera diffusée sur l'intranet pour tous ceux qui n'auront pu participer.
Consulter le programme du séminaire.
Contact :
03 90 24 13 87
http://intranet.unistra.fr
Prodev_contacts.@unistra.fr
En partenariat avec la Caisse des dépôts, les trois universités strasbourgeoises, à partir de 2008, puis l'Université de Strasbourg depuis, ont piloté une étude qui a abouti à la définition d'un schéma directeur immobilier (SDI). L'objectif poursuivi au travers de ce document consiste à rassembler les éléments structurels et les pistes de travail portant sur l'évolution du patrimoine de notre université et son intégration dans la Ville et dans la Région, au service d'une recherche et d'un enseignement attractifs et de qualité.
Ce schéma directeur s'appuie sur de nombreuses questions qui structurent une réflexion globale.
Ce schéma directeur a été réalisé par une société extérieure, Algoe, avec l'appui de différents services centraux et de certaines composantes qui ont fourni les éléments d'analyse et les scénarios d'évolutions prévisibles.
Un bilan d'étape de cette opération, au moyen d'un court exposé sur les principaux éléments constitutifs de ce travail, suivi d'une séance d'échanges et de questions, sera présenté à l'ensemble des personnels de l'université et des organismes de recherche le mardi 26 mai à 11h30 à l'amphithéâtre AT9 à l'Atrium.
Nota : Deux autres réunions seront organisées début juin sur les sites d'Illkirch et de Cronenbourg.
Dès l'arrivée de la nouvelle gouvernance à la direction de l'EM Strasbourg, en mars 2008, une des premières décisions, qui s'inscrit dans le plan stratégique et dans le contrat d'objectif avec l'Université, a été de lancer le processus d'accréditation EPAS (EFMD Programme Accreditation System) pour son Programme Grande Ecole (accréditation de programme) délivré par l'EFMD (European Foundation for Management Development).
L'accréditation est attribuée à la suite d'une évaluation interne et externe. Sont examinés, entre autres, la position stratégique du programme et sa renommée ainsi que les ressources qui lui sont allouées, ses objectifs et ses résultats, la qualité des étudiants et du corps professoral, les relations avec les diplômés et le monde économique, les processus d'assurance qualité ou encore le contenu pédagogique.
Celui-ci comporte 4 grandes phases qui se sont succédées durant les 9 mois qu'a duré le processus d'accréditation à savoir :
Le Programme Grande Ecole a été ainsi accrédité pour 3 ans.
Contact : Fatiha Bouterra, Responsable Organisation et Process, à l'EM Strasbourg
Tél. 03 90 41 42 84 - Courriel : fatiha.bouteraa@em-strasbourg.eu
La prochaine édition de cet événement multidisciplinaire proposé par l'Université de Strasbourg se construit autour de la thématique « Identités » au mois de novembre prochain. De l'identité biologique à l'identité génétique et moléculaire, en passant par l'identité bancaire, nationale, territoriale, sexuelle, numérique ou encore culturelle, les sujets sont nombreux et parfois sensibles. Déployée dans l'ensemble de la cité strasbourgeoise, cette manifestation tente avec des personnalités et des acteurs de la vie scientifique, associative, culturelle, économique et politique de contribuer au débat public sur des thèmes sensibles relatifs au rapport sciences-société. Toutes propositions de pistes de réflexion ou de contributions sont d'ores et déjà les bienvenues pour construire les tables rondes, les conférences et les performances artistiques qui sont le cœur de cette manifestation.
Renseignements
Courriel : savoirs@unistra.f
Tél. 03 90 23 54 78
http://savoirs.u-strasbg.fr
Un appel à candidats est lancé pour un poste de directeur de l'Ecole supérieure de biotechnologie de Strasbourg (ESBS). Ce poste devra être pourvu à partir du 16 novembre 2009.
La date limite de candidature est provisoirement fixée au 1er septembre 2009.
Téléchargez l'appel à candidature.
« Une assemblée consultative sera bientôt en place dans notre université »
Avant le 30 mai 12h à lactu@unistra.fr pour une parution le 5 juin